Les mécanismes de lutte contre les féminicides ne cessent de s'améliorer, mais le nombre de victimes reste dramatiquement stable. Comment l'expliquer ?
Jean-Philippe Schreiber conte le procès d'un génocide et en tire une réflexion sur la nature, l'exécution et la falsification de la mémoire des crimes de masse du XXᵉ siècle